Album InfraZer

Mr Deub a écrit:

Les 1ères Playlist Radio :
Genotype et Cirkus sur Radio Campus Rennes à raison d'une fois par jour minimum pendant un mois.
www.radiocampusrennes.fr
www.myspace.com/radiocampusrennes

L'album intégre la programmation générale de Beaub FM
http://www.beaubfm.org

Cirkus : sans doute ma préféré de tout l'album ! Ils ont bons goûts !

Genotype, B-52, Allo Houston et Global Therapy en playlist sur Radio Campus Orléans.
http://www.orleans.radio-campus.org

Plusieurs titres de l'album en playlist sur Radio Prévert 105.9 FM : http://www.radioprevert.fr

Chronique réalisée par The Black Wizard's sur WerdamMnis : http://www.verdammnis.com/v4/reviews.php?id=384

Citation :

Né des cendres d' Inti aka, les membres d'Infrazer débarquent ici avec leur tout premier album. Une musique ambiante dub, tapissée de bruitages électro injectés par petites touches bien calibrées sauront vous faire glisser sereinement aux limites du fantasme et de l'imagination. La musique d'Infrazer sait évoluer avec délicatesse dans différentes atmosphères sans pour autant devenir barbante comme on pourrait avoir la facilité de s'y attendre avec ce style de musique. Des ambiances oscillantes et vaporeuses aux notes prolongées à l'infini tendent parfois à nous évoquer l'univers des films de Lynch ou de magie avec pour exemple les morceaux 'Labory' parcouru par diverses voix sur plusieurs plans sonores, ou encore l'excellente 'Cirkus' dans un ton plus rythmé. La batterie viendra par instants insuffler une nouvelle énergie aux morceaux, comme sur la fin de 'Xiii' qui ouvre l'album sur l'une de ses plus belles compos, très céleste. Avec ses claviers langoureux 'Genotype' rejoint parfois ce genre d'univers, avant de gagner en lourdeur par une cadence plus soutenue et guitares saturées. Les sonorités flirtent parfois avec le trip hop. L'ensemble de la galette est un régal, les compositions évoluent vers une dynamique de plus en plus palpable mais malheureusement moins enivrante aussi. Peut-être aurait t'on préféré une répartition moins hétérogène de ces différentes approches musicales. Le bémol pour la piste 'Showgun' qui par son chant très terre à terre autant dans la texture que dans le texte nous fait très vite déchanter en plein rêve ... L'album reste un très bel élan pour Infrazer, avec une écoute accessible et très immergente.

Chronique : The Black WIZARD's [12/2008]

Citation :

l'univers des films de Lynch

Hum !!! la bonne référence !

David Liche...C bon la bière !!!

Freezeec.com : http://www.freezeec.com/index.php?page=article.php&id=infrazer.html

Citation :

Infrazer Note chroniqueur : 7.5 / 10
Chroniqué par wthar6 le 2008-12-12

Vous aimez Idem, Revo, High Tone ou Dub Orchestra ? Alors vous aimerez aussi Infrazer !

Qu'est-ce-qui différencie leur musique électro teinté de dub, de rock et de trip-hop de celle des groupes pré-cités ? Une utilisation plus systématique des samples "parlés" et un recours plus fréquent aux sons synthétiques développés par les machines.

Mais Infrazer aurait vraiment pu faire la différence et se démarquer s'ils avaient osé reproduire plus souvent l'expérience de la piste 5 : "Apathique". Sur ce titre, ils ont pris le risque de chanter et en français en plus. Et cette prise de risque est payante, car pour moi "Apathique" est le meilleur titre de l'album.

Espérons qu'ils nous reviennent rapidement avec un deuxième album moins timide :)

Les Immortels, chroniqué par Chris : http://www.lesimmortels.com/blog/chroniques-metal-musicale/infrazer-%e2%80%93-infrazer-2008-subwave-records

Citation :

InfraZer – InfraZer (2008 / SubWave Records)
décembre 13, 2008 ·

Terra incognita. C’est par cette expression que les explorateurs mentionnaient sur leurs cartes les territoires restés inexplorés. Au fil de leurs périples, cette mention était sans cesse repoussée, pour finir un beau jour par disparaître totalement. Cette soif d’exploration peut constituer un point de départ à l’écoute de l’album éponyme d’InfraZer. Même en n’étant que peu familier du genre de musique ici proposé, une simple visite sur le Myspace du groupe suffit à susciter la curiosité et à générer l’envie d’en entendre plus. Un des philosophes d’Aurora, Illinois, affirmait : ‘ On a peur du changement. ‘. Bien plus que la peur, c’est simplement une légère gêne qui précède la lecture d’InfraZer, sensation qui se dissipe assez rapidement.

Le quintet propose un, voire différents voyages, sur une terre étrangère et étrange. Guitare, basse, batterie, samples et machines dépeignent un univers froid et foisonnant. Autour de la rythmique et de notes lancinantes sont érigées diverses atmosphères, portant le pèlerin en différents points de son nouveau domaine. Des échos de voix lui parviennent ça et là, mais ce qu’il peut percevoir n’est pas en mesure de le rassurer pleinement. Les rares paroles qu’il peut comprendre et interpréter ne sont aucunement liés à des thèmes très légers et ces vibrations fantômes ne sont par voie de conséquence que des encouragements à poursuivre plus avant son chemin. Le voyageur alterne ainsi les visites dans des cadres fleurant bon le métal écorché et torturé et les escapades brassant bien plus la poussière et la terre foulée. Bien que parfois égaré, le vagabond se voit guidé par les accords de guitare résonnant dans sa tête. Parvenu au terme de son aventure, il se livre à une dernière réflexion, entouré des instruments qui ont servi de vecteurs à ses pérégrinations.

Les créations proposées par InfraZer tressent ainsi différentes ambiances, qui permettent de démontrer leur maîtrise technique. La multitude des éléments mis en commun sur cet album ne tient en aucun endroit du patchwork reconstitué. Au contraire, l’œuvre se révèle au fil des écoutes de plus en plus riche. En outre, il convient de noter que les compositions, une fois relâchées, remplissent l’espace dans lequel elles sont libérées, révélant par là-même une puissance qui ne nécessite pas un recours obligatoire aux décibels ou aux distorsions à outrance. InfraZer livre ici pour son premier album une production dense, qu’il est difficile de résumer ou de présenter. Dès la première note, les sensations inspirées par la musique prennent le pas sur l’analyse, construisant ainsi une expérience unique pour l’auditeur. Si les écoutes successives présentent bien évidemment une certaine parenté, elles ne sont pas pour autant identiques, renouvelant à chaque fois le plaisir.

Les différentes chroniques sont pour le moment plutôt bien positives

Mr Deub a écrit:

Plusieurs titres de l'album en playlist sur Radio Prévert 105.9 FM : http://www.radioprevert.fr

Ils passent ShowGun, Cirkus et Global Therapy

En playlist sur Thème Radio 90.3 : www.themeradio.com

Genotype et Vegas en prog générale sur Radio Campus 3 (2 à 3 rotations par titre par jour pendant 1mois1/2).
Global Therapy programmé dans dossier dub (1 rotation par jour).


Des titres de l'album en airplay sur la radio férarock SOL FM : http://solfm.nerim.net/pages/sol2dfm.html

Une bonne chronique sur le D-SIDE du mois de janvier.

L'album en playlist en janvier sur Radio Campus Tours : http://www.radiocampustours.com

Citation :

Que les fans de Dub hexagonaux ne soient pas frustrés, Infrazer n'a pas été oublié par la Nizetch team, Encore heureux !! (c'est à moi qui il faut claquer les fesses). Véritables héritiers des pionniers du style français, s'inspirant de samples à la High Tone, IDEM, Casualty ou bien encore Manipulators, Infrazer a su sortir son épingle du jeu en nous concoctant un album Dub électro comme il se doit... à la fois envoutant et percutant...

C'est en 1999, en Champagne-Ardenne, que commence l'aventure musicale avec la création du groupe Inti Aka, jouant avec des sonorités dub, electro, rock. De ce doux mélange apparut en 2005, "Sensitive" sous SubWave Records, leur propre label. Le groupe s'éteindra l'année suivante suite au départ de la chanteuse. Mais tel le Phénix qui renait de ses cendres, la quête continuera sous un autre nom : INFRAZER. Ceux-ci nous font preuve d'une grande qualité artistique avec leur opus sorti en 2008 (toujours sous Subwave Records).

Leur album éponyme est vraiment de très bon augure et d'une qualité musicale indégnable, qui, qu'on se le dise, n'est plus monnaie courante dans la fièvre "dubeuse" actuelle. N'ayant aucun complexe à triturer les samples, explorant et repoussant encore les limites de la sphère musicale enivrante qu'est le dub, Infrazer fait preuve d'une maîtrise technique impressionnante, alliant à merveille Guitare, basse, batterie, samples et machines. Bien qu'essentiellement instrumentaux, le quintet agrémente certains de ces morceaux de voix (Showgun, Apathique).

Ce premier opus est une découverte à chaque écoute, de composition dense et appréciable, s'illustrant par touche planante propre à leur univers.

Préparez vous au voyage, monter les basses ! Les Champenois d'Infrazer vous (nous) payent le voyage.

Par Yoggibat - Nizetch.fr
http://www.nizetch.fr/post/2009/02/02/Infrazer

InfraZer diffusé sur radio Montréal avec le titre Genotype.
http://cibl1015.com/boumtchak/?p=30

cool !

Des titres en playlist sur la radio Lilloise RCV : http://www.rcv-lille.com

Chronique Shoot Me Again : http://www.shootmeagain.com/chroniques/1492_infrazer_st

Citation :

INFRAZER
S/T (10 titres/ 55 minutes/ Subwave records)

Évidemment ils sont français et pratiquent un dub plutôt instrumental agrémenté de samples et dialogue de films… tout le monde vous dira donc : Mais ce sont les dignes rejetons de High tone !
En soit, ce n’est pas complément faux, mais ce serait un peu triste et simpliste de résumer ainsi le quintette qui compose InfrAzer .
Originaire de Champagne Ardennes, InfrAzer est constitué d’anciens membres d’Inti Aka (1999-2006), un groupe qui évoluait dans un registre trip hop avec un chant féminin, ce n’est que lorsque le groupe se sépare de sa chanteuse qu’il s’orientera vers le dub. Ce long parcours explique aisément l'expérience et pourquoi InfrAzer n’a aucun complexe à triturer les samples, explorant et repoussant encore les limites d’un dub enivrant. InfrAzer fait également la très agréable démonstration d'une maîtrise technique impressionnante, rarement atteinte ou attendue sur un premier album.
Irrésistiblement planant, les univers concoctés et traversés avec brio par l’album d’ InfrAzer emmène l’auditeur vers des mondes imaginaires chauds et des plus enivrants.

Bien rares sont les premiers albums d’une telle qualité.

Chroniqué par Nono le 04-02-2009

L'album en airplay sur la radio Eko des Garrigues (Montpellier).
http://www.ekodesgarrigues.com/sommaire.php3

Chronique D-SIDE n°50 (janvier/février 2009)

Citation :

INFRAZER (Subwave records)
Les Français Infrazer (ex-Inti Aka, dont le Sensitive de 2005 reste recommandable) sortent leur premier album éponyme sur le label français Subwave. Le couple rythmiques médium épurées/basses à la répétitivité dubby épaule un agrégat coloré : crochetages de guitares fines, effets psyché, sons synthétiques brillants, Infrazer recherche dès l’inaugural « XIII » un groove spatial et jumelle chaud et froid, technologie et petits éclats organiques. Ce groove emporte avec lui les restes du rock : les guitares gardent bien quelque effusion, comme cette saturation peu convenue sur « Apathique » ou le dansant « Vegas ». Infrazer semble parcourir un désert de 0 et de 1 (la cinématographie de « Labory »). Tout l’album est un voyage, une épopée numérique entreprise en dehors par toute une scène française (Idem, de chez Jarring Effects, nous vient à l’esprit) et pour laquelle il n’est plus réellement question de se positionner dans le pour ou le contre. Ici, machines et instruments traditionnellement rock fusionnent leurs ambitions au service d’un crossover sans vraies limites, quoiqu’ancré rythmiquement dans le dub (« Cirkus »). Les frontières se dissolvent au fur et à mesure de la progression de l’écoute (« Showgun », une effusion tirant vers le rock). Voici une histoire que chacun peut se raconter, un voyage que chacun peut faire : en dedans, au fil d’une anesthésique esthétique sonore.
Emmanuel Hennequin

Chronique Zic Boom (déc 2008)

Citation :

INFRAZER (Subwave records)
Après l’excellent album de Fr4gm3nt, c’est au tour d’Infrazer de sortir les griffes avec un opus éponyme de 10 titres franchement orienté dub. Une fois encore Subwave soigne içi le graphisme de la pochette et s’attache à mélanger machines et instruments classiques. Rien n’est laissé au hasard, ni à la concession. Si on peut regretter un peu la redondance du style et quelques sonorités trop estampillées 80, saluons par contre la multiplicité des idées créatrices, notamment sur l’usage des samples de voix. Une maitrise parfaite de leur utilisation permet à Infrazer de concrétiser des envies, des idées certainement immatérielles au départ ..
Un disque réussi a ceci de remarquable quand il répond à l’idée que ses créateurs s’en faisaient au départ.
MM

Chronique Fanzine Cafzic par Trélastik
http://cafzic.oldiblog.com/?page=articles&rub=447373

Citation :

INFRAZER « S/t » (Subwave records)

Alors là, voici un album riche en sonorités ... Avec d'anciens d'INTI AKA, le nouveau projet d'INFRAZER ne peut que te surprendre. Car il y a là une réelle recherche et une créativité musicale singulière (même si pour les plus réfractaires du dub cela reste du dub !). Oui mais ! 10 titres complexes alliant des nappes programmées aux rythmes évolutifs, lourds et pesants. La basse est ronde parfois sombre et souvent bien en avant. Oui c'est du dub avec une trace de ZENZILE (parfois) et d'HIGH TONE (peu souvent). INFRAZER pose autre chose, un univers personnel, une invitation à un voyage sonore aux frontières de l'électro rock et du trip hop. Avis aux amateurs ! (TréLaStiK)

Prémonition : http://www.premonition.fr

Citation :

Le dub a encore de beaux jours devant lui, tant que de nouvelles idées lui seront insufflées. La preuve est apportée par le quintet français InfraZer et son excellent premier album éponyme [Subwave]. Un son aussi aérien sur des riffs et une base dub est suffisamment étonnant pour mériter notre attention. La magie provient essentiellement de l'utilisation de machines, omniprésentes et diablement intelligentes. Lorsque le rythme s'accélère, le groupe se lance dans un rock instrumental où les phazers sont rois, où les guitares et les claviers se tordent, les uns autour des autres, pour un résultat extrêmement dynamique et probablement le meilleur du genre.
Bertrand Hamonou

ShowGun dans l'émission Témoin Auriculaire de Radio Evasion.
http://www.radioevasion.net

Webzine RockMeUp : http://www.rock-me-up.fr/infrazer-sort-un-excellent-premier-album

Citation :

InfraZer sort un excellent premier album.

Lundi 30 mars sortait le 1er album d’un nouvel entrant dans la sphère électro française : InfraZer. Les adeptes du genre dub-électro-rock y retrouveront avec bonheur les références que peuvent être High Tone et Idem (label Jarring Effects) voire Zenzile & Kaly Live Dub. Pas très original me direz-vous ?


L’album débute par XIII, une electro-dub plutôt aérienne qui constitue une très belle entrée en matière, pour poursuivre sur les vibrations hypnotiques du didgeridoo de Ravan’ sur Labory.

L’apogée est atteint sur Genotype 5. Vraiment un excellent morceau dynamisé par une deuxième partie plus rock-électro et mêlant à la perfection des samples de Voyage au centre de la Terre version 1959. Suit Allo Houston, dans lequel une pincée de Zenzile en fait un de mes titres favoris.

Ensuite parmi des morceaux plus conventionnels, on trouve une perle, un titre chanté : Apathique. Il s’agit d’une adaptation du groupe Monsieur Z chantée pour l’occasion par Poulp’ le chanteur de GunN.

Autre merveille, Global Therapy clôt impeccablement l’album en réaffirmant l’identité du quintet chaumontais avec la présence de dialogues de la série OZ. De l’aveu d’Akaen, nous étions à deux doigts d’y trouver la voix d’un ancien président… La véritable personnalité du groupe est donc l’intégration dans la plupart des morceaux de samples parlés bien choisis.

Dans une ambiance planante et sombre mais riche en nuances, cet album éponyme ravira les passionnés du genre. Ce n’est pas un coup d’essai puisque ces anciens membres d’Inti Aka avaient produit « Sensitive » en 2005, déjà sous leur propre label « Subwave Records ».

Longue route à InfraZer que je suis maintenant impatient de découvrir sur scène.
Christophe - Rock-me-up